« Miark » : différence entre les versions
(Modification du texte pour dissimulé ce qui à mon avis peut poser un problème d'aprés les droits d'auteurs si DG ne nous autorise pas à réutiliser une partie de ses textes) |
m (Correctif du lien sur les Plaines Salées) |
||
Ligne 3 : | Ligne 3 : | ||
Ville décrite par [[:catégorie:Auteur/denis gerfaud|Denis Gerfaud]] dans [[:catégorie:Source/nef|''Le Miroir des Terres Médianes'', n°3]], avril 1986. | Ville décrite par [[:catégorie:Auteur/denis gerfaud|Denis Gerfaud]] dans [[:catégorie:Source/nef|''Le Miroir des Terres Médianes'', n°3]], avril 1986. | ||
Perdue au milieu des [[ | Perdue au milieu des [[Landes Salées]], '''Miark''', la Cité aux Chats, est une petite ville de 2000 habitants, où les chats sont aussi nombreux que les humains. | ||
Il n'y a ni rempart ni fortification autour de la ville, mais un immense filet de corde, le Grand Filet, qui fait le tour de la ville, à un kilomètre envrion de la ville elle-même. Ce filet, qui sert à empêcher les chats de quitter la ville, est surveillée par <!--les garde-mailles, sorte de -->la milice locale. | Il n'y a ni rempart ni fortification autour de la ville, mais un immense filet de corde, le Grand Filet, qui fait le tour de la ville, à un kilomètre envrion de la ville elle-même. Ce filet, qui sert à empêcher les chats de quitter la ville, est surveillée par <!--les garde-mailles, sorte de -->la milice locale. |
Version du 22 octobre 2006 à 23:45
Ville décrite par Denis Gerfaud dans Le Miroir des Terres Médianes, n°3, avril 1986.
Perdue au milieu des Landes Salées, Miark, la Cité aux Chats, est une petite ville de 2000 habitants, où les chats sont aussi nombreux que les humains.
Il n'y a ni rempart ni fortification autour de la ville, mais un immense filet de corde, le Grand Filet, qui fait le tour de la ville, à un kilomètre envrion de la ville elle-même. Ce filet, qui sert à empêcher les chats de quitter la ville, est surveillée par la milice locale.
Autorités
- Une milice montée sur sauriens compose la principale force visible de la ville. Leur nombre de centaine se contant sur les doigts d'une main.
- Pour seconder la milice, et bien que dans un certain nombre de cas la milice semble leurs obéir. On rencontre au travers de la ville de drôle de troupes généralement au visage masqué. Ces personnes semblent pourvus de prérogatives certainement spéciales car nul en ville ne semble vouloir les empêcher de faire leur bon vouloir.
- Il existe aussi deux personnes fort vénérées dans la ville, mais elles semblent toujours invisible. Le peu que les joueurs peuvent en apprendre, c'est qu'ils ont un rôle prépondérant dans cette ville, mais nulle n'acceptera de leur dire lequel exactement.
Lois en vigueur
Les chats de Miark sont protégés par la loi et peuvent agir à leur guise. Nul ne peut les agresser phyiquement ou verbalement sans encourir la peine du sac.
Le meurtre, le vol, la détérioration du Grand Filet ainsi que l'agression d'un des hommes masqués ou d'un garde sont également punis de la peine du sac.
Le Haut-Rêve y est toléré tant qu'il ne porte pas atteinte à la loi.
Ressources
Les habitants vivent des salicornes et du chardon qui poussent en abondance dans les Collines Piquantes. Ils tirent du chardon, la toile de Miark, une étoffe solide et rèche. Ils vivent également du commerce de sel.
Ils se nourrissent le plus souvent d'âne et d'aligate.
Relais & Boutiques
- L'Auberge des Traqueurs de Larmes, sur la Grand-Place, est le seul relais digne de ce nom.
- Chez Pharnaüm, à l'angle de la rue des ânes, est la boutique de Pharnaüm, brocanteur et prêteur sur gages. L'homme se prétend spécialiste à la traque aux larmes et propose toutes sortes de cartes, d'amulettes, d'appeaux, de philtres et de talismans. Il vend également de toute sortes d' herbes de soin et même de l' herbe de lune.
Quartiers notables
En dehors de l'actuel Palais où trainenet les hommes masqués, les Tanneurs, les Goules et le Cimetière sont assez bien conservés.
Histoire
Elle a connu bien des noms depuis le dernier Grand Réveil, mais son actuel nom semble être liés à son histoire réscente.